3 conseils anti-culpabilité pour avancer sereinement dans votre projet minceur

Apprendre à gérer un craquage alimentaire avec bienveillance et psychologie positive !

La culpabilité alimentaire revient très souvent en consultation : cette sensation de “se juger”, de “mal faire”, ou de “perdre le contrôle” dès que l’on dépasse l’objectif fixé.

Prenons un exemple concret, que j’entends souvent :
« Aujourd’hui, j’ai mangé 6 carrés de chocolat alors que je m’étais fixé d’en prendre 2 ! »

Pas de panique.
Pas de jugement.
Pas de drame.

Pour avancer dans votre projet minceur, il est essentiel d’apprendre à diminuer la culpabilité, car elle entraîne souvent stress, compulsion, frustration… et effet yoyo.
Voici 3 conseils anti-culpabilité simples et efficaces.


1. Relativiser : un craquage n’est pas un échec

La première étape est de remettre les choses en perspective.

Vous avez mangé 6 carrés ?
– Vous n’avez pas mangé la tablette entière !
– Vous êtes peut-être déjà passé(e) au chocolat 70 % ou 80 %, beaucoup moins sucré que celui que vous mangiez avant.

Chaque petit changement compte.
Et ce que vous appelez “craquage” pourrait très bien être renommé “moment de plaisir”, ce qui est bien plus doux pour vous.


2. Focaliser sur le positif : vos réussites pèsent plus que votre écart

Quand un petit écart arrive, votre cerveau se focalise uniquement dessus…
et oublie tout ce que vous avez fait de positif pour votre santé dans la journée.

Prenez quelques secondes pour lister vos réussites :

  • vous avez bougé,
  • vous avez ajouté plus de légumes à vos repas,
  • vous avez mangé plus lentement,
  • vous avez pratiqué la pleine conscience,
  • vous avez moins grignoté,
  • vous avez mieux hydraté votre corps…

Ces actions ont un impact bien plus important sur votre minceur qu’un carré de chocolat en plus.
C’est en renforçant vos comportements positifs que vous progressez.


3. Comprendre : d’où vient l’envie de manger ?

Pour diminuer la culpabilité, il est important de comprendre ce qui s’est passé.

Posez-vous des questions simples :

  • Aviez-vous faim ?
  • Était-ce lié à de la fatigue ?
  • À une envie de manger émotionnelle ?
  • Manquez-vous de plaisir dans vos repas ?
  • L’objectif “2 carrés par jour” est-il trop ambitieux pour le moment ?

En comprenant la cause, vous reprenez le pouvoir sur votre comportement alimentaire… au lieu de subir la culpabilité.


Ma vision : dans un projet minceur, on s’adapte !

La minceur durable n’est pas une ligne droite.
C’est un chemin fait d’essais, d’ajustements, d’apprentissages.

Vous n’avez pas besoin de réussir du premier coup.
Vous pouvez revoir vos objectifs, les ajuster, les rendre plus réalistes.
Ce n’est pas grave : c’est humain, c’est normal.

L’essentiel est de ne pas lâcher, d’avancer à votre rythme, et d’être beaucoup plus douce avec vous-même.
C’est exactement cette posture qui mène à des résultats durables, sans frustration ni culpabilité.

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